vendredi 15 juillet 2016

Attentat de Nice... Ou quand les bouchers portent une cocarde...


Et quoi maintenant ?
On fait comme d'habitude ?  On se bourre d'anti-anxiolitiques à s'en coller des ulcères à chaque sortie au ciné, au resto ou au stade, et on attend que ça nous pète dans la gueule, gentiment, sans faire de bruit ? 
Car c'est grosso modo tout ce que cet inénarrable Manuel Valls et sa palanquée de crétins nous proposent comme palliatif à la barbarie islamiste qui ponctue désormais notre agenda: Apprendre à vivre avec le terrorisme, et compter sur je ne sais quelle bonne étoile pour ne pas retrouver sa famille couchée sur une liste de cadavres en morceaux.
Qui peut décemment entendre ça aujourd'hui sans hurler de rage ?

Dans ce blog comme dans beaucoup d'autres (ici, , ou encore ), le ton a toujours été impertinent et provocateur dans un esprit réactionnaire assumé, mais systématiquement tourné vers un minimum de respect à l'endroit de ceux qui y sont parfois épinglés, voire ouvertement condamnés.
Aujourd'hui, la retenue, la correction, la mesure et la pondération, tout ça va rester dans ma culotte. Toute cette réserve que je m'imposais peu ou prou, et que je voyais comme un principe élémentaire du débat démocratique et citoyen, va passer à la trappe.
Mon respect, tous ces énarques de l'inaptocratie, toutes ces prix Nobel de l’incompétence et de l'indignité, tous ces usurpateurs de promesses, ils vont se le tailler en pointe et se le coller dans le fondement  jusqu'à l'étirement tissulaire critique.
Et tant pis si la diffamation, l'outrage ou la calomnie me pendent au nez...

Qui m'empêchera de traiter Valls, Cazeneuve ou Hollande d'enfants de salauds ?
Personne. Et surtout pas eux..

mercredi 6 juillet 2016

Cui cui cui !... Cuit ?..




Tweeter, ce petit oiseau sympathique et tellement pratique pour les politicards "2.0"...
Le problème avec les petits oiseaux, c'est que ça chie partout. 
Et la fiente de piaf, ça bouffe les carrosseries.. mêmes blindées...

Eric